• Sujet : Mon fils a 8 ans, il ne lit que des bandes dessinées, il bloque sur tout le reste !



    Avec des bandes dessinées comme support on peut faire plein de choses :
    d'abord, c'est de la lecture...d'un autre genre, mais de la lecture...il y a
    même des pagnols, des jules verne et des agatha Christie en BD (pour ne
    citer que ces trois styles d'écrivain)...c'est une très bonne approche de la
    littérature...et aussi de l'histoire (l'histoire de France en BD existe en
    plusieurs tomes)...
    Pour pousser à la rédaction, on peut encore lui faire écrire ses propres BD
    (il faut une chronologie, des personnages, un suspence, une trame, faire des
    recherches pour connaitre le fond historique ou scientifique, la faune, la
    flore....) et là, on peut aborder toutes les matières : y compris la géométrie
    parce qu'il faut faire les bulles, les images sont dessinées dans des
    carrées,  sur des feuilles rectangles (ça fait réfléchir...)
    Dans ton cas, je me servirai de ce qu'il aime pour élargir son  intérêt...

    Magali d'Aude

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  • Les mauvaises notes et la "constante macabre"

        Les enseignants admettent de plus en plus qu'à chaque contrôle en classe ils réservent systématiquement un pourcentage de mauvaises notes à leurs élèves, selon une enquête inédite réalisée par André Antibi professeur d'université et révélée mercredi lors d'un colloque au Sénat.

    "J'ai réalisé ces huit derniers mois une enquête auprès de 1.900 professeurs dans une vingtaine de régions leur demandant si «la constante macabre existe»", a expliqué à l'AFP M. Antibi.

    "Par «Constante macabre», j'entends qu'inconsciemment les enseignants s'arrangent toujours, sous la pression de la société, pour mettre un certain pourcentage de mauvaises notes. Ce pourcentage est la constante macabre", a précisé André Antibi.

    Selon son enquête, "95 % des enseignants répondent que «la constante macabre existe», ce qui signifie qu'ils reconnaissent ce pourcentage systématique de mauvaises notes".

    André Antibi s'est fait connaître en 2003 à travers un livre, "La Constante macabre", dans lequel il dénonçait déjà le poids excessif de la note au sein d'un système qui sélectionne par l'échec et finit par décourager beaucoup d'élèves.

    Il a mis en place depuis deux ans une expérimentation pour lutter contre cette "constante macabre".

    Ce nouveau système intitulé "Système d'évaluation par contrat de confiance" (EPCC) fonctionne "sur un principe simple", selon M. Antibi: une semaine avant un contrôle, l'enseignant donne le programme de l'examen à l'élève en choisissant une liste d'exercices déjà corrigés en classe. L'élève n'a plus qu'à refaire les exercices le jour du contrôle et il obtient une très bonne note, en ayant "bien appris".

    L'expérimentation de la méthode a déjà prouvé que ces élèves avaient le même niveau aux évaluations nationales.

    "Environ 1.500 profs pratiquent ce système et de plus en plus de collègues le font", a ajouté M. Antibi qui va publier dans un mois un livre sur le sujet intitulé: "Les notes: la fin du cauchemar".
    -----------------------
    Évaluer dans la situation actuelle : 
    des inconvénients trés importants  ... 
    - Implicitement, un certain  pourcentage de mauvaises notes ( une « constante macabre » ) semble nécessaire pour que l'évaluation soit  crédible 
    - Sous la pression de la société, l'enseignant devient un sélectionneur malgré lui.
    - De nombreux élèves faisant partie du « mauvais tiers »  d'une classe sont injustement en échec malgré leur travail. Ils se découragent et perdent confiance 

    APPEL POUR UNE ÉVALUATION PLUS JUSTE DU TRAVAIL DES ÉLÈVES ET DES ÉTUDIANTS


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  • Edition du 21/09/2006
    AGRESSION SEXUELLE : Un cas qui fait débat dans le Vaucluse
    Exclus de la maternelle
     Eugénie MOURIZARD et Jean-François GARCIN
    A l'école maternelle Frédéric-Mistral de Jonquières, qui scolarise 130 élèves, on n'avait jamais connu un tel incident. Photo Manuel PASCUAL

    Dans la cour de l'école maternelle Frédéric-Mistral à Jonquières, dans le Vaucluse, les cris d'une petite fille ont alerté les adultes la semaine dernière. Ils sont aussitôt intervenus. Quatre petits garçons de cinq ans étaient en train de contraindre une fillette de quatre ans à des caresses contre son gré. Visiblement après lui avoir baissé sa culotte. L'établissement vauclusien de 130 élèves n'avait jamais connu un tel incident. "Ce qui s'est passé est grave et sérieux car il y a eu apparemment contrainte. Cet acte est donc punissable et il sera puni" indiquait Jean-Charles Cayla, inspecteur d'académie du département.

    Des enfants de 5 ans

    La petite victime a tout de suite été prise en charge. Et "les quatre garçons ont été rappelés à l'ordre de façon très ferme. Ils seront sanctionnés. La sanction sera adaptée à la nécessité de rappeler les enfants au respect des autres. Quant aux parents, il ne s'agit pas de les culpabiliser mais de les responsabiliser" a-t-il ajouté. Pour le moment, les quatre élèves ont été écartés à titre conservatoire de l'enceinte scolaire jonquiéroise pour plusieurs jours.
    Le parquet des mineurs de Carpentras a ordonné une enquête de personnalité et d'entourage confiée aux gendarmes d'Orange. <script language=JavaScript> </script> "Les enfants de moins de sept ans, n'ayant pas de responsabilité pénale, cette étude devra permettre d'analyser le milieu dans lequel vivent les quatre écoliers".

    L'inspection académique du Vaucluse a confirmé que les enfants avaient
    été renvoyés, sans pouvoir préciser si la décision était définitive.

    Interrogé par l'AFP, le magistrat de permanence au parquet de
    Carpentras a indiqué manquer d'informations sur ce qui s'était
    exactement passé: "Il n'y a pas vraiment de témoins: ni adultes*

    ni enfants. Ils ont essayé de déshabiller une petite fille. On ne sait pas
    s'il n'y a pas un peu plus". "Les gens s'affolent. On oublie qu'on a
    tous joué au docteur", a-t-il ajouté.

    Une enquête a cependant été ouverte, notamment sur les conditions de
    vie des enfants, "pour voir s'ils ne sont pas perturbés".

    La directrice de l'école n'était pas joignable jeudi.

    Pour Didier Blanc, président départemental de la FCPE du Vaucluse,
    joint par l'AFP, "c'est une affaire extrêment rare et exceptionnelle,
    il faut se garder de toute conclusion hâtive, car n'oublions pas qu'il
    s'agit d'enfants très jeunes en pleine construction dont les repères ne
    sont pas totalement en place".

    "Je trouve ridicule que l'affaire aille devant le parquet.
    Habituellement, il y a discussion avec les parents, une psychologue
    scolaire et la commaunauté éducative", a ajouté M. Blanc également
    administrateur national de la principale fédération de parents
    d'élèves.

    "Si le fait d'écarter les enfants est provisoire et permet de remettre
    les choses en place pour les cinq enfants et leurs familles, cela me
    va. Mais la décision prise ne peut pas prendre un caractère
    disciplinaire", a-t-il également indiqué espérant également que "les
    réseaux d'écoute, d'appui et d'accompagnement des parents (REAAP)
    soient enfin mis en place dans le Vaucluse où ils ne sont, pour
    l'instant, que théoriques".

    Le président national des parents FCPE, Faride Hamana, s'est dit de son
    côté "surpris qu'on ait mis en place une procédure aussi lourde" à
    l'encontre de quatre enfants de 5 ans.

    "Cette histoire aurait dû rester au niveau local, avec les familles,
    les enseignants: ce ne sont pas des violeurs", a-t-il déclaré en
    rappelant qu'"à 5 ans, ce sont encore de gros bébés".

    "Peut-être qu'ils sont un peu perturbés, un peu violents, je ne peux
    pas me prononcer mais, en aucun cas, on ne doit exclure des enfants de
    cet âge", a-t-il protesté.

    Une circulaire du 6 juin 1991 pour l'application des règles à l'Ecole
    prévoit que "dans certains cas, une procédure d'exclusion provisoire
    peut être engagée par le directeur de l'école", une disposition qui
    concerne aussi la maternelle, a précisé le ministère de l'Education nationale.

    Roger Auffrand

    * Les adultes ne sont-ils pas censés surveiller les enfants ? Mais peut-être sont-ils trop occupés à se raconter leur week-end ?


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  • Notre petite fille de 8 ans, chaque soir après l'école, a 8 mots à copier 10 fois pour les apprendre.

    Ce n'est pas parce que vous allez écrire 10 fois un mot que vous allez mieux retenir
    le mot........... et vous vous imaginez un enfant de 8 ans qui, après avoir été a
    l'école toute la journée doit copier 8 mots 10 fois celà vous fait 80 mots (ouah je
    deviens douée en math:-))))).
    Mon mari en tant que prof a eut la chance de
    suivre des formations et parmi celles-ci, il a fait la methode de La
    Garanderie qui explique que certains enfants ou adultes ont une memoire soit
    visuelle soit auditive soit kynestesique (ortho?)
    donc à un auditif vous lui
    faites écrire dix fois un mot, il ne va jamais retenir l'orthographe; par
    contre vous lui faites mémoriser avec un moyen auditif, là ca va aller tout
    seul.... notre fille est visuelle elle lit, elle connait et elle
    enregistre.....
    Alors elle râle de perdre son temps.....

    Pierrette L.


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  • Bonjour,

    Une carte des familles non-scolarisantes a été créée afin que l'on puisse se connaître et se contacter. Seules les familles ayant internet ont accés à cette carte, donc toutes les familles n'y figurent pas, malheureusement.Si vous souhaitez vous inscrire,

    en voici le lien :

    http://www.frappr.com/nonsco

    (le mode d'emploi figure au dessus de la carte)

    A bientôt,

    Marie-Louise


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