• Merci !

    Le bébé souffrait d'une maladie du nom de "Spina bifida"

    et n'aurait pas survécu à l'extérieur de l'utérus.

    Lire à ce sujet, l'interview du Dr Bruner par "Femme Actuelle".

    La mère, Julie Armas, infirmière en obstétrique,

    avait entendu parler des remarquables
    opérations pratiquées par le Dr Bruner

    alors que l'enfant est toujours à l'intérieur de l'utérus.

    Après avoir sorti l'utérus du ventre de la mère, le chirurgien fait
    une petite incision et il peut ainsi opérer le foetus.

    Pendant l'opération, Samuel a sorti sa petite main, complètement
    formée, par l'ouverture, et il a attrapé le doigt du chirurgien et
    l'a serré très fermement.
    La photo capture ce moment privilégié de façon très claire.

    Le photographe Michael Clancy a intitulé sa photo : "La main de l'espoir" et le texte disait :

    "La petite main de Samuel Alexander Armas est apparue hors
    de l'utérus de sa mère pour agripper le doigt du Docteur Bruner

    comme pour le remercier du don de la vie."

     


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  • Merci d'aller voir cet article qui, je crois, renseignera sur les pratiques aujourd'hui en France.

    Rappelez-vous qu'il y a quelques décennies, la femme était considérée comme n'ayant pas d'âme....

    Dans quelques décennies, peut-être quelques siècles, le foetus sera reconnu comme être vivant, mais en attendant....

    Trente ans après l'adoption de la loi Veil et malgré l’accroissement de l’utilisation des méthodes contraceptives en France ainsi que l’introduction de la pilule du lendemain en vente libre depuis 2001, le nombre d'avortements avoisine toujours les 200 000 par an. Cherchez l’erreur…

    Attention, certaines images peuvent choquer les personnes les plus sensibles (fermez la page "Gardiens de France" afin de ne pas juxtaposer les deux musiques de fonds_Vous pourrez toujours utiliser par la suite le lien retour"flèche verte" pour finir votre visite;merci).

    http://gardiensdelheritageduroyaumedefrance.oldiblog.com/?page=articles&rub=146862

    Dans le cas où ce lien ne fonctionnerait pas, merci de cliquer sur celui-ci :

    http://www.dailymotion.com/visited/search/villiers/video/xrdbx_sacre


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  • Bonjour à tous.

    Les ambulanciers ont remarqué que très souvent lors d'accidents de La route, les blessés ont un téléphone portable sur eux. Toutefois, lors des interventions, on ne sait jamais qui contacter dans ces listes Interminables de contacts. Les ambulanciers ont donc lancé l'idée que chacun d'entre nous Rentre dans son répertoire, la personne à contacter en cas d'urgence sous le même pseudonyme. Le pseudonyme international connu est " ICE " (= In Case of Emergency). C'est sous ce nom qu'il faut entrer le numéro de la personne à contacter, utilisable par les ambulanciers, la police, les pompiers ou les premiers secours. Lorsque plusieurs personnes doivent être contactées on peut utiliser ICE1, ICE2, ICE3, etc. Facile à faire, ne coûte rien et peut apporter beaucoup. Si vous croyez en l'utilité de cette convention, faites passer le message afin que cela rentre dans les moeurs.

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  • Trois députés UMP de Seine-Saint-Denis, Eric Raoult, Robert Pandraud et Jean-Claude Abrioux ont déposé à l'Assemblée nationale une proposition de loi «instaurant une tenue commune à l'école». 

    Tenue à l'école :
    "arrêter de s'intéresser aux culottes des filles" (Fidl)

    Paris- --afp--060915---- Le syndicat lycéen Fidl a demandé vendredi aux trois députés UMP de Seine-Saint-Denis ayant déposé à l'Assemblée nationale une proposition de loi instaurant une "tenue commune" à l'école, "d'arrêter de s'intéresser aux culottes des petites filles".

    "Il serait temps que ces trois députés prennent conscience qu'il y a un âge où il faut arrêter de s'intéresser aux culottes des petites filles, et se penchent un peu plus sur les vrais problèmes que connaît l'Ecole", s'est insurgée la Fidl dans un communiqué.

    Eric Raoult, député-maire du Raincy, Robert Pandraud, ancien ministre de la Sécurité publique, et Jean-Claude Abrioux ont annoncé jeudi avoir déposé ce projet de loi d'une "tenue commune à l'école" pour "permettre aux élèves, quels que soient leur sexe, leur religion ou leur condition sociale, de vivre leurs années d'école sans violences et sans discriminations".

    En juin, Eric Raoult avait écrit au ministre de l'Education et aux fédérations de parents d'élèves pour attirer leur attention sur les tenues "parfois très légères et à la limite de la décence" des lycéennes.

    "La Fidl est atterrée face à la proposition de loi. Ce n'est pas la première fois qu'Eric Raoult intervient sur le sujet qui, vraisemblablement, lui tient à coeur", a ironisé la Fidl.

    Dans l'exposé des motifs de la proposition de loi, les trois élus expliquent que l'uniforme, déterminé par chaque établissement, "garantirait une allure décente à tous les élèves. Il éviterait les insultes et menaces dont sont parfois victimes certaines jeunes filles lorsqu'elles sont vêtues de manière provocante".

    L'avis de Marie-Louise :

    Si maintenant les élèves ont leur propre syndicat et qu'ils peuvent décider de ce qui leur convient alors où va-t-on ? Je suis pour l'uniforme ne serait-ce que pour éviter les discriminations sociales ( cf "Philosophie de vie" ) et rappeler à ces jeunes gens qu'ils sont à l'école pour apprendre et non pour un défilé de mode....


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  • Règlement vestimentaire, des réponses pas uniformes Faut-il instaurer un règlement vestimentaire pour tous les élèves ? A cette question posée par l'institut LH2, les sondés répondent « non » à 54,8 %, « oui » à 43,3 %. Les avis divergent sensiblement selon les sympathies politiques. Les plus favorables à un code vestimentaire sont les proches du PC (49,4 %), de l'UMP (53,3 %), du MPF (59,8 %), et surtout du FN (71,8 %).

    A l'heure de la dictature des marques dans les cours d'écoles, le débat sur un code vestimentaire, voire sur le retour de l'uniforme, n'est pas près de se tarir. La preuve en est, trois députés UMP de Seine-Saint-Denis ont annoncé hier le dépôt à l'Assemblée nationale d'une proposition de loi « instaurant une tenue commune à l'école ». Selon ces parlementaires, « l'instauration d'une tenue commune permettrait de lisser les différences sociales entre les élèves, de limiter les insultes et agressions sexuelles dont sont victimes les jeunes filles et permettrait au monde éducatif d'évoluer dans de meilleures conditions ».


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