• L'association nationale française "Les Enfants d'Abord" représente les parents qui instruisent
    leurs enfants dans la famille. "Les Enfants d'Abord" affirment leur soutien à la famille Neubronner 
    sous le coup de procédés inacceptables. En France, c'est l'instruction qui est obligatoire,
    pas la fréquentation d'un établissement scolaire.
    Il est possible d'apprendre autrement et ailleurs qu'à l'école.
    Moritz et Thomas Neubronner, ont toujours reçu des rapports positifs suite aux contrôles
    qu'ils ont passés durant l'année scolaire 2006-2007. Pourquoi, alors que l'établissement scolaire
    était d'accord pour reconduire l'expérience, la famille Neubronner a-t-elle été menacée
    d'une nouvelle amende ? Comment justifier que leurs comptes courants soient aujourd'hui bloqués 
    et qu'ils n'aient plus les moyens de travailler et donc de subvenir à leurs besoins ? 
    Comment justifier de tels procédés alors que Dagmar et Tilman Neubronner assument
    leur responsabilité parentale en assurant manifestement l'instruction de leurs enfants ? <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    "Les Enfants d'Abord" soutiennent la liberté de chacun de choisir son mode d'instruction
    et réaffirme la priorité accordée aux parents de "choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants"
    (article 26.3 de la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948) de même que
    le respect par l'état du "droit des parents d'assurer cette éducation et cet enseignement
    conformément à leurs convictions religieuses et philosophiques." 
    (protocole 1 article 2 de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Convention" w:st="on">la Convention</st1:PersonName> européenne de sauvegarde des droits de l'homme
    et des libertés fondamentales).<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    Les Enfants d'Abord<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>

    Communiqué de presse du Réseau allemand pour la liberté d'instruction  le 12 novembre 2007<o:p></o:p>

    Des peines de prison pour la liberté d'instruction <o:p></o:p>

    Suivre d'autres voies pour instruire son enfant peut coûter vraiment cher. C'est maintenant la famille Neubronner qui en fait l'expérience à Brême. Les deux fils, Moritz et Thomas, sont instruits à la maison avec succès depuis plus d'un an sous la surveillance de l'Etat, et pourtant, la sénatrice de Brême chargée de l'éducation veut mettre fin par force à ce parcours éducatif encore inhabituel en Allemagne. <o:p></o:p>

    Dans ce but, des amendes ont été infligées à quatre reprises à cette famille, mettant en péril ses moyens d'existence. Cette semaine, les auxiliaires de justice ont tenté en vain de recouvrer l'amende auprès des Neubronner. Pour mettre fin à une expérience éducative qu'elles désapprouvent, les autorités scolaires ont déjà menacé cette famille exemplaire de contrainte par corps. Pour les enfants Neubronner, l'affaire est claire. Lorsqu'on leur a demandé s'ils se rendaient compte des conséquences possibles pour leurs parents, l'un d'eux a répondu du tac au tac à Günther Jauch, de stern TV : "Il vaut mieux que notre père passe une semaine en prison, plutôt que nous encore huit ans à l'école." <o:p></o:p>

    Selon le Réseau pour la liberté d'instruction, ce conflit, comme dans le cas de l'école non autorisée Körnerwall, montre clairement l'incapacité des autorités scolaires allemandes à se réformer, et la mauvaise volonté qu'elles y mettent. Cette école de Brême a enseigné avec succès pendant des années selon des conceptions pédagogiques nouvelles, tout comme le fait aujourd'hui la famille Neubronner, leur seul problème étant de ne pas bénéficier de la bénédiction des autorités. <o:p></o:p>

    Dans les deux cas, les conséquences de l'attitude des autorités de Brême sont fâcheuses, tant pour les enfants concernés que pour l'ensemble du paysage scolaire. Non seulement on ne répond pas à la demande croissante de solutions éducatives alternatives en autorisant la diversité, mais on saigne à blanc les parents qui s'engagent pour l'éducation de leurs enfants, ou même on les menace d'incarcération, et on ferme les écoles alternatives. Or, comme l'envoyé spécial de l'ONU Vernor Munoz l'a lui-même déclaré lors de sa dernière visite en Allemagne : <o:p></o:p>

    "Des alternatives comme l'enseignement à distance et le homeschooling sont des choix possibles qui doivent pouvoir être envisagés sous certaines conditions... Favoriser et renforcer le système d'instruction publique financée par l'Etat ne doit pas conduire à rejeter les modèles sans présence physique dans un bâtiment scolaire." <o:p></o:p>

    Presque tous les autres Etats européens ont depuis longtemps donné une base légale à l'instruction hors école, connaissent cette possibilité et obtiennent avec elle de très bons résultats. <o:p></o:p>

    Le Réseau pour la liberté d'instruction demande à la sénatrice de Brême chargée de l'éducation de mettre fin à cette épreuve de force aux dépens des enfants et de donner sa chance à une vraie liberté d'instruction à Brême. Pour cela, il est indispensable que le projet pilote qui s'est déroulé jusqu'ici avec succès puisse se poursuivre, et que "cette forme d'instruction prenant en considération le bien-être de l'enfant continue à se développer" (Vernor Munoz, envoyé spécial de l'ONU). <o:p></o:p>

    Le "Réseau pour la liberté d'instruction" (Netzwerk Bildungsfreiheit) est une fédération nationale d'associations, d'initiatives parentales et d'individus concernés par le droit au libre accès à l'éducation, au libre choix et au libre développement de moyens d'instruction avec des ressources tant publiques que privées. Nous nous engageons en faveur d'une transformation de l'obligation scolaire en une véritable liberté d'instruction qui permettrait aux enfants et aux parents de déterminer en toute liberté leurs propres choix éducatifs. <o:p></o:p>

    Netzwerk Bildungsfreiheit e.V. Porte-parole et responsable : Jörg Großelümern, Am Hahnengraben 8, 90592 Schwarzenbruck, Tel. 0162-1637301 E-Mail: presse@netzwerk-bildungsfreiheit.de <o:p></o:p>

    Pour plus d’informations sur la situation des Neubronner,  y compris les réactions internationales, voir : <o:p></o:p>

    http://www.netzwerk-bildungsfreiheit.de/html/neubronner.html<o:p></o:p>

    www.learningfreely.net/index.php/2007/11/27/protest-against-the-persecution-of-homeschoolers-in-germany/  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>
    <o:p> </o:p>
    <o:p> </o:p>
    Lettre de « Les Enfants d’Abord »  à l'autorité pour l'éducation de l'état allemand de Bremen<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    <o:p> </o:p>
    Secrétariat<o:p></o:p>
    8 rue Haguenau<o:p></o:p>
    67000 Strasbourg<o:p></o:p>
    www.lesenfantsdabord.org<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
                                                                                                Le 9 octobre 2007<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
                                                                                                Senatorin für Bildung und Wissenschaft<o:p></o:p>
    Rembertiring 8-12<o:p></o:p>
    28195 Bremen<o:p></o:p>
    Madame,<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    Nous sommes la plus grande association française défendant l’instruction à domicile.<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    Nous avons appris que la famille Neubronner à Bremen est actuellement en attente
    d’une décision judiciaire relative à la possibilité pour les parents de continuer l’instruction 
    des enfants à domicile.  Par ailleurs, nous savons que plusieurs autres familles en Allemagne
    sont traînées devant les tribunaux tout simplement parce qu’elles désirent faire ce choix 
    d’instruction alors que ce serait leur droit le plus strict dans la plupart des pays européens voisins.<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    Nous sommes consternés par cette situation et vous informons que <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> reconnaît légalement
    le choix des parents d’instruire leurs enfants à domicile, quelqu’en soient les raisons, 
    l’Etat n’ayant pas à en juger.  <o:p></o:p>
    Cette liberté de choix a été rappelée en février 2007 à l’Assemblée Nationale française lors de débats <o:p></o:p>
    parlementaires à ce sujet.  D’autre part, cette reconnaissance est conforme aux textes internationaux
    qui garantissent aux parents le droit d’éduquer leurs enfants en fonction de leurs 
    convictions philosophiques, religieuses ou pédagogiques.   
    (article 26-3 de <st1:PersonName ProductID="la D←claration" w:st="on">la Déclaration</st1:PersonName> universelle des droits de l’homme, protocole 1article 2 de <st1:PersonName ProductID="la Convention" w:st="on">la </st1:PersonName>
    <st1:PersonName ProductID="la Convention" w:st="on">Convention</st1:PersonName> européenne de sauvegarde des droits de l’enfant, article 14-3 de <st1:PersonName ProductID="la Charte" w:st="on">la Charte</st1:PersonName> européenne 
    des droits de l’homme.)<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    Loin de créer des « sociétés parallèles », comme pensent certaines autorités, 
    les enfants qui sont instruits à domicile deviennent des adultes responsables qui apportent 
    leur contribution individuelle à la société.  Nous avons pu le vérifier ces dernières années en France 
    à travers des témoignages de chefs d’entreprise, sportifs de haut niveau, musiciens, journalistes, 
    artistes, techniciens informatiques, techniciens agricoles, ingénieurs,  tous instruits à la maison.<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    Nous espérons vivement que cette famille obtiendra la permission d’exercer leur choix éducatif 
    d’instruction à domicile et qu’une prise de conscience allemande en faveur de la liberté de choix
    en matière d’instruction permettra d’aboutir à une légalisation de cette possibilité dans un avenir proche.<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    Nous vous prions, Madame, d’agréer l’expression de notre haute considération.<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    Agnès Ohlenbusch, coordinatrice générale<o:p></o:p>
    <o:p> </o:p>
    Pour Les Enfants d'Abord<o:p></o:p>

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  • Un ange qui est là...

    Savez-vous ce que c'est que d'avoir une mère ?...et de sentir

     que vous avez près de vous, à côté de vous, au-dessus de vous,

     marchant quand vous marchez, s'arrêtant quand vous vous arrêtez,

     souriant quand vous pleurez, une femme, un ange qui est là,

     qui vous regarde, qui vous apprend à parler, à sourire, à aimer,

    qui réchauffe vos doigts dans ses mains, votre corps sur ses genoux,

    votre âme dans son coeur, qui vous donne son lait quand vous êtes petit,

    son pain quand vous êtes grand, sa vie toujours,

    à qui vous dites " Ma Mère " et qui vous dit " Mon enfant "

    d'une manière si douce que ces deux mots-là réjouissent Dieu.

     

                                                                      Victor Hugo.

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  • Stop aux mutilations en salle d'accouchement !!!!

     

    Un mythe à la peau dure

    Inventée au 19è siècle, répandue au 20è, l'épisiotomie n'est pas un geste anodin, c'est un acte chirurgical. Pas une " petite " incision, puisqu'elle concerne la peau, la muqueuse, et une partie des muscles et des nerfs qui entourent la vulve et le vagin. Elle implique donc une importante suture, trop souvent faite à vif, au mépris de la douleur. L'épisiotomie est pourtant présentée comme un geste nécessaire, voire salvateur, afin d'éviter une déchirure ou de " faciliter " le passage de bébé, notamment en cas de ventouses ou forceps. Or les études les plus récentes sur le sujet remettent ces indications en cause, et les recommandations de l'OMS ( Organisation Mondiale de la Santé ) comme du CNGOF ( Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français ) déconseillent l'épisiotomie dans la plupart des cas.

     

    Mutilation génitale

    La femme n'est généralement pas informée qu'une épisiotomie va être pratiquée, malgré la loi qui impose de recueillir le " consentement éclairé du patient " avant tout acte médical. Elle est censée ne rien ressentir mais ce n'est pas toujours le cas.On peut comparer l'épisiotomie et l'excision; parfois présentée comme rite du passage au statut de mère, l'épisiotomie lèse profondément les parties génitales. Or, mutiler, c'est " infliger une blessure grave qui porte atteinte à l'intégrité physique ".

     

    Tout sauf anodin

    Les conséquences peuvent être grave : périnée sur-déchiré ( l'épisiotomie a filé ), fistules vagino-anales, incontinence urinaire ou fécale, perte sanguine supérieure à la césarienne, cicatrice douloureuse, parfois infectée, points qui lâchent, sutures malfaites coire à refaire, sans parler de la sexualité. Même si d'autres nerfs se reforment suite à la section de ceux d'origine, ce ne sera plus pareil; beaucoup de femmes souffrent de dyspareunie ( douleurs pendant les rapports sexuels ).

     

    Souffrances niées

    L'entourage comme le corps médical nient souvent cette soufrance, physique ou psychologique. " Bébé va bien, de quoi te plains-tu ? " " Belle cicatrice ! çà ne peut pas vous faire mal. " " Tu es bien chochotte ! " " Vous allaitez ? Il faut choisir, je ne peux pas vous donner d'anti-douleurs ! " ( Ce qui est faux, plusieurs sont compatibles avec l'allaitement ). Un groupe de discussion a été créé afin de parler de ses souffrances, trouver du réconfort et des pistes contre la douleur :

    http://fr.groups.yahoo.com/group/soutien-episiotomie/

     

    Difficile de retrouver son corps

    La douleur peut être terrible, elle est parfois telle que la mère a bien du mal à trouver une position d'allaitement confortable. Ce facteur, plus la perte d'une certaine confiance, incitent parfois les femmes à sevrer à regret.

     

    Lutter contre la douleur

    L'épisiotomie ne provoque pas forcément de complications. En général, la cicatrisation est douloureuse quelques jours ou semaines, même quand tout se passe bien. La suture d'une déchirure peut faire souffrir aussi. Certaines femmes apprécient l'homéopathie, d'autres les anti-douleurs, anti-inflammatoires, voire des crèmes anesthésiantes pour muqueuses, à faire prescrir. Des glaçons dans une serviette ou des gants tièdes peuvent soulager.

     

    Un geste remis en cause

    Sur pression des usagers, l'Angleterre est passée en 20 ans de 52 % d'épisiotomies à 13 %. Dans le même temps, les Etats-Unis sont passés de 65 à 19 %. En France, les recommandations de 2005 incitent à ne pas dépasser 30 %, contre environ 50 % actuellement, taux qui diffère d'un lieu à l'autre et entre primipares et multipares. En effet, ce geste mutilant et souvent mal vécu ne prévient ni l'incontinence ni les déchirures graves, alors qu'il peut en provoquer. Il n'est pas non plus nécessaire en cas de forceps ou ventouses, et ne semble utile qu'en cas de vraie souffrance foetale, afin d'accelérer la naissance.

     

    Refuser ?

    Légalement, on en a le droit. Ce n'est pas toujours facile sur le moment; un projet de naissance peut s'avérer utile. Mieux vaut privilégier les positions physiologiques, pour accoucher : accroupie, debout, à quattre pattes, couchée sur le côté, etc...La péridurale empêche de pousser efficacement, peut provoquer des souffrances foetales donc l'utilisation de forceps, souvent associés, malgré les recommandations à une épisiotomie. Avec de la détermination, le dialogue peut permettre de l'éviter.

     

    Sophie Petit ( Extrait de Grandir autrement )


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  • Recette de mon arrière-grand-père

    Crème au chocolat ou à la vanille !

    Ingrédients :

    1 litre de lait

    6 oeufs entiers

    24 morceaux de sucre

    3 cuillerées à soupe de chocolat en poudre "Poulain" ( ou une gousse de vanille )

     

    Déroulement :

    Faire bouillir le lait avec le sucre et le chocolat

    ( ou la gousse de vanille fendue en deux ).

    Laisser refroidir légèrement.

    Battre les oeufs convenablement, les mélanger avec le lait ( légèrement refroidi ).

    Passer le tout dans une passoire assez fine et mettre dans un plat allant au four.

    Faire cuire 30 minutes à four doux : Attention la crème ne doit pas bouillir !

     

    Vous pouvez également remplacer le chocolat ou la vanille par du café en poudre.

    Vous ne serez pas déçus du résultat quelque soit le parfum !!!


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  • Savez-vous ce qu'est un tiers digne de confiance ?

    C'est une personne ou un couple qui décide d'accueillir chez lui un ou plusieurs enfants en difficulté dans leur foyer, avec l'accord du ou des parent(s) et du juge pour enfants.

    Ma meilleure amie, a été hospitalisée alors qu'elle était enceinte et le papa en a profité pour s'eclipser...

    De part les difficultés de mon amie du point de vue santé, son bébé allait être placé en pouponnière en attendant de trouver une famille d'accueil. Ceci se passait à noël dernier. Etant parrain et marraine de la petite, il était hors de question que nous laissions faire une chose pareille. La maman était en larmes.

    Nous nous sommes alors proposés pour être tiers digne de confiance et donc accueillir le bébé chez nous. Ce statut, qui n'en est d'ailleurs pas vraiment un puisque c'est du bénévolat, n'est possible que pour un membre de la famille ou ami proche.

    Après avoir rencontré le psychiatre et l'assistante sociale, et avec l'accord de la maman, nous avons donc récupéré la puce le 3 janvier 2007 alors qu'elle venait d'avoir 1 mois.

    Nous avons ensuite reçu un papier du juge pour enfants nous confiant ce bout de chou pour 6 mois, le temps qu'une enquête sociale ait lieu.

    L'assistante sociale est venue 3 ou 4 fois chez nous pour voir notre logement, nos revenus et surtout, entendre nos motivations.

    Suite à cela, nous avons reçu fin juin un nouveau courrier du juge nous confiant définitivement la petite avec une mesure AEMO de 2 ans pour voir comment cela se passe entre la maman et nous.

    Une mesure AEMO, c'est un éducateur qui suit l'enfant pour voir si ses droits sont respectés, si la relation entre la maman et nous se passe bien. En fait, il s'agit d'un médiateur. Si tout va bien, la mesure AEMO sera supprimée au bout de ces deux années.

    Maintenant, quelques nouvelles de la puce : elle va avoir bientôt un an, elle s'assoit, se met à quattre pattes et gazouille : c'est une vraie pie jacasse ! Elle rit aux éclats, fait bravo avec ses petites mains et adore qu'on lui chante des chansons et qu'on joue à coucou. Elle reconnaît sa maman qui vient la voir chez nous  un week-end sur 3.

    C'est un grand bonheur d'avoir pu aider cette petite fille et sa maman !!!


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