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Par Marie Louise1 le 11 Juin 2007 à 16:53
Le Bonsaï - qui signifie en japonais " arbre en pot " - a des origines bien lointaines. Connu depuis le XIIè siècle au Japon, et bien avant en Chine, cet arbre nain figurait parmi les objets les plus précieux dans les demeures royales et aisées. Il était même transmis de père en fils, en héritage. Ce n'est que dans les années 1900 que le Bonsaï traversa les frontières et conquit le monde occidental. Aujourd'hui, de nombreux passionnés s'adonnent à cet art qui réclame du doigté et une grande patience.
Tout arbre peut être nanifié mais seuls présentent un intérêt : le bouleau, le charme, l'orme ou bien encore, l'aubépine, le cerisier à fleur, l'érable commun. Les conifères sont également faciles à former. Les plus résistants sont les pins et les épicéas.
Procédé avec des marrons :
Ramassez des marrons en automne.
Plantez-les directement dehors, dans une caisse contenant du terreau.
En mars-avril, ils germeront et feront de petits arbres.
Sectionnez les racines sous les premiers poils absorbants.
Plantez l'arbre en pot.
Coupez également le bourgeon terminal pour favoriser la ramification.
En juin, sélectionnez les feuilles.
Ne laissez que les plus petites.
Une seconde poussée de feuilles se fera
et vous donnera des feuilles plus petites et plus nombreuses.
L'année suivant la mise en pot, coupez les deux bourgeons terminaux,
pour obtenir une ramification et ainsi de suite.
Tout Bonsaï demande des soins attentifs.
Il a besoin d'être taillé continuellement.
D'être corseté avec des fils de cuivre pour parfaire sa ligne.
Et ne pas oublier de les enlever, au bout de quelques mois,
pour éviter que l'arbre ne se blesse en grandissant.
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Par Marie Louise1 le 3 Avril 2007 à 15:55À Pâques, on distribue des ufs, on les cache pour les plus petits et surtout on les décore, de façon très variable selon les régions et les époques. Les plus somptueux viennent des pays de lEst, les ufs de nos campagnes de France étant plus sobrement teintés.
Depuis quand des décors ?
Un texte alsacien de 1624 raconte quà Pâques, « on teignait les ufs en vert, rouge, noir et bleu et dautres manières encore ». La mode des ufs de couleur semble être venue de lEst, mais aussi des familles bourgeoises et citadines du reste de la France. Dans la plupart des campagnes, la tradition nen est évoquée que tardivement, à partir de la fin du XIXe siècle au mieux. En Saintonge, au milieu du XIXe siècle, on les trouvait surtout jaunes, violets ou rouges.
Comment colorer les ufs ?
Pour donner une couleur précise à la coquille, on cuisait les ufs pour les faire durcir dans de leau additionnée dingrédients. Les recettes dautrefois ne manquent pas : des myrtilles ou du sureau pour du violet, des rondelles doignon et du vinaigre pour un beau rouge sombre, des épluchures de radis pour du rose pâle, des épluchures de betterave rouge pour du rose violacé, du marc de café ou du thé pour du brun clair, des carottes pour du jaune vif, des pelures doignons pour du brun-jaune, des feuilles dorties ou dartichaut pour du vert, etc. Si la teinture passait par une fente de la coquille et tachait un peu le blanc de luf dur, les enfants nen avaient cure et le mangeait tout autant. Il ny avait guère que la nourrice de la romancière Colette qui se méfiait (à tort puisquon nutilisait alors que des plantes comestibles colorantes) et qui disait à la fillette « Ne mange pas, cest du poison ! » si la couleur avait traversé.
Quelle est la couleur la plus fréquente ?
Le plus souvent, on teintait les ufs en rouge sombre, une tradition qui rejoint celles de lEst. En Hongrie par exemple, cest le même mot, kokonya, qui signifie à la fois « uf de Pâques » et « uf rouge ». En Grèce, luf rouge est considéré comme le seul vrai, celui quon offre le Jeudi Saint. Tout cela aurait pour origine une légende qui veut que Marie-Madeleine se soit rendue à Rome après lascension de Jésus : elle aurait demandé à voir lempereur Tibère et lui aurait tendu un uf rouge en disant « Jésus est ressuscité ». On dit aussi quaux premiers temps de lÉglise, les chrétiens se saluaient à Pâques en soffrant des ufs rouges.
Les décorations diverses
En France, si lon excepte la cour royale (Watteau avait peint et décoré deux ufs de Pâques pour une fille de Louis XV), les décorations supplémentaires étaient très rares et très simples. Elles sont attestées seulement dans quelques régions : des décalques de feuilles de persil en Anjou (on maintient les feuilles avec une ficelle ou un filet autour de luf avant de le faire cuire dans son bain colorant, puis on détache le tout, la feuille simprimant ainsi en réserve claire), ou des décors grattés à la pointe dun couteau, après teinture de luf, en Franche-Comté et en Sologne
En Bohême, on retrouve ce grattage de luf teinté de couleur sombre, souvent avec une plume. En Allemagne, on y inscrit souvent, soit par grattage après teinture, soit par peinture sur luf nu ou teinté clair, des poèmes ou des vux rédigés spécialement pour la personne à laquelle on offre luf de Pâques.
En pays tchèque, on colle des petits morceaux de paille aplatie et découpée en losanges, carrés, rectangles
En Pologne, on utilise plutôt des papiers gommés prédécoupés en forme doiseaux, de feuilles, de fleurs ou bien on fait un timbrage à la pomme de terre (on la découpe en deux, on y sculpte un motif quon trempe ensuite dans lencre).
Les plus beaux de tous restent les ufs ukrainiens, réalisés au « batik », cest-à-dire à partir de bains successifs dans des colorants de plus en plus foncés, avec des réserves effectuées à la cire, elle-même déposée avec une plume entre chaque étape.Et les faux ufs ?
Les premiers ufs artificiels sont nés à la fin du XVIIIe siècle en Russie, mais étaient conçus comme des bijoux à conserver, pas comme des confiseries à manger. Avant la Révolution de 1917 dailleurs, tous les orfèvres russes exposaient des « ufs bijoux » dans leurs vitrines la semaine de Pâques, les plus remarquables étant ceux du joaillier Carl Fabergé de la fin du XIXe siècle.
En France, de façon plus populaire, on a commencé à offrir des ufs en sucre coloré aux enfants à partir des années 1890. Dans les années 1900 apparaissent aussi des ufs en porcelaine, en carton doré ou en chocolat, contenant parfois une surprise.
Et maintenant ? Ce sont les ufs en chocolat qui décorent toutes les vitrines en période pascale, pour la plus grande joie des gourmands bien sûr !
Texte : Marie-Odile Mergnac
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Par Marie Louise1 le 3 Mars 2007 à 23:55
Pourquoi ne pas faire le pain vous-même avec vos enafnts,
eux qui adorent patouiller !
De la farine, de l'eau, du sel, de la levure de boulanger et quelques céréales ou des fruits secs...
Et le tour est joué !
Il faut que la pâte ne colle pas aux doigts.
L'enfant donnera la forme de son choix à son pain
et sera fier de manger son propre pain,
ainsi que de le partager avec les êtres qui lui sont chers.
N'oubliez pas de laisser gonfler la pâte au moins 3/4 d'heure dans un endroit chaud
avant de la mettre à cuire ( donc après réalisation de la forme ) à 240° C.
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Par Marie Louise1 le 25 Août 2006 à 18:33
Bientôt la saison des noix....
Les photophores :
Casser les noix en deux, vider les moitiés.
Allumer une bougie et faire couler délicatement de la cire dans chacune des demi-coquilles en n'oubliant pas d'y faire tenir une mèche ( ficelle à rôti par exemple ).
Une fois finis, vous pouvez les installez dans un récipient transparent
(vase, petit saladier, etc...) rempli d'eau. Effet garanti pour un dîner de fête !
Vous pouvez également décorer pour une occasion spéciale les marches,
les rebords de fenêtre, etc...
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Par Marie Louise1 le 16 Mars 2006 à 21:57
Ah ! Les beaux coquillages !
Si vous avez l'occasion d'aller à la plage, amusez-vous avec vos enfants à ramasser de jolis coquillages.
A l'aide d'un petit clou et d'un marteau, vous pourrez les percer et laisser vos bouts de chou les enfiler afin de former de magnifiques bracelets ou colliers de coquillages !
Vous pourrez également les laisser faire du collage avec leurs coquillages, afin de former des objets très originaux (décor de petits cadres par exemple).
A suivre....
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